Tout commence à l’aube et je me lève. Je m’appelle Manami et j’ai 16 ans, je suis au lycée. Ma mère c’est remarié quand je n’avais que 6 ans et depuis je vis avec elle et son nouveau mari. Après mettre levé, je descend pour préparé le petit déjeuné de tout le monde avant qu’ils ne se lèvent. Je prend mon petit déjeuné et je monte me préparer, j’enfile mon uniforme et attache mes cheveux en queue de cheval. Je me brosse les dents, je prend mon sac et je pars. J’arrive à l’arret de bus avec quelques minutes d’avance et je m’assoie sur le banc. Depuis hier je n’arrête pas de penser à ce que mon beau père m’a dit. Il m’a dit que son fils qui a mon âge arrivait ce soir à la maison. Je me dit que comme ça mon calvère sera peut-être moin dur à supporter. Le bus arrive, je monte et m’assoie toute seule, quelques minutes plus tard je suis devant le lycée. En entrant dans la cour du lycée, je me dirige vers ma salle de classe et m’assis à ma place. Je n’aie pas d’amis et je suis tout le temps rejeté. Le professeur venait d’arriver, tout les élèves s’assirent et le cours commença. La journée se fini comme d’habitude et je rentrai chez moi prête à me faire engueler pour ce que j’aurais fait de mal cette fois. J’ouvris la porte et vit ma mère et mon beau père avec un garçon de mon âge. Me mère se retourna et me dit :

« Tu as passé une bonne journée

• Oui mais qui est ce garçon ? demandais-je
•  C’est mon fils, répondit mon beau père
•  Enchanté de te rencontré, je m’appelle Akira et j’espère que l’on  s’enttendra bien
•  Je m’appelle Manami et moi aussi j’espère que l’on s’enttendra bien
•  Au faite Manami, le petit déjeuné était un trop froit, est-ce que tu pourrais faire attention la prochaine fois, s’il te plait, me dit mon beau père tout en s’avançant vers moi et je reculais un peu
•  Je ferais attention, je dois monté il faut que je fasse mes devoirs
•  Vas-y et montre sa chambre à Akira demain il ira dns le même lycée que toi
•  D’accord, viens Akira je vais te montrer ta chambre
•  Je te suis »

Nous montions à l’étage et je montrai sa chambre à Akira qui lui s’avança vers moi et me dit :

« Est-ce que mon père te fais peur ?

•  Oui, il me fais peur mais je ne devrais peut-être pas te le dire parce que tu pourrais aller lui dire, et il pourrais me le faire payer
• Stop, arrête avec ça je ne comprend rien à ce que tu dis
•  Ce serait peut-être plus facile de te l’expliquer en te montrant, dis-je en soulevant mon tee-shirt
•  Pourquoi as-tu tout ces bleus ?
•  Désolé de te dire ça mais c’est parce que ton père me ..., je ne pu terminer ma phrase que je sentit mes larmes coulaient le long de mes joues  et je m’effondrais »

Akira me pris dans ses bras et m’assis sur le lit et me consola après plusieurs minutes et je repris mes esprits et je décida de tout dire à Akira, je pouvais avoir confiance en lui :

« Quand ma mère c’est marrié avec ton père, depuis 10 ans je vis dans la peur. Au début tout ce passais bien mais après leur 1ère année de mariage, ton père commençais à me battre pour un oui ou pour un non et je pense que ma mère n’est pas courant. Un jour, ton père m’a fait une proposition. Il m’a dit que si je faisais toutes les tâches ménagères, que j’avais des notes excellentes et que je faisait tout les repas, il arrêterais de me battre et cela a marché mais après 6 mois de tranquillité, j’ai ramené une mausaise note car je n’avais eu assez de temps pour réviser et depuis ce jour je me fais battre pratiquemment tout les jours. Je pense que si tu n’avais pas était là et ma mère non plus, il m’aurait battu pour ce matin. Je ne peut pas en parler à ma mère car il pourrait lui faire du mal et comme je n’ais pas d’amis, je me suis renfermé sur moi même. La seule fois où quelqu’un avant toi a vu mes bleus, il m’ont abandonné. Maintenant j’ai peur tout le temps, j’ai peur faire quelque chose de travers, peur le soir quand je rentre, peur le nuit à ne plus dormir ou même le matin j’ai peur qu’il me batte si je me lève après lui et que rien ne soit pour le petit déjeuné. La nuit je fais des cauchemares, je pleure toute le nuit mais dans la journée je camoufle tout avec des sourirs et des rires.

•  Et tu supporte tout cela depuis 9 ans, tu as du courage mais maintenant je serai là pour toi et tu pourras venir me voir la nuit si tu fait un cauchemard ou que tu a envie de pleurer, viens et je t’offrirais mes bras pour te consoler, à partir de maintenant, tu peux me considérer comme ton frère. Mais ne perds pas espoir.
• Merci, merci mille fois Akira mais dit moi quelle heure est-il ?
•   Il est bientôt 19h00 pourquoi ?
• Déjà mais il faut que j’aille préparé le diner et si tu veux voir ce que je supporte depuis 9 ans, dit à ton père que tu sort et vas te cacher sous la fenêtre et observemaintenant, j’y vais »

Je descendit et alla prépara le diner, Akira lui dit à son père qu’il sortait prendre l’air et ma mère était partit, après 15 mins je me dirigea vers le salon ou se trouvais mon beau père, je m’excusa pour ce matin. Il se dirigea vers moi, il avait le regard sombre, derrière j’ai vu Akira qui regardait mais quand j’a vu que mon beau père sortait le fouet, j’ai adressé, un dernier regard à Akira, ce regard qui était plein de larmes mais j’était pratiquemment certaine que je succomberais ce soir. Mon beau père commença par me gifler plusieurs fois, j’avais les joues d’une couleur rouge vif et je tomba au sol, comme je n’avais plus rien à perdre et je lui souffla. « Cela vous amuse de me battre à mort mais je n’aie plus peur de vous ». Cela l’a tellement énervé qu’il a commencé à me foueter. Du côter d’Akira, il en avait marre alors il pris son portable et appela la police et après quelques minutes plus tard, la police arriva et entra, mon beau père était debut devant moi et j’était à moitié inconsiente quand soudain j’entendit quelqu’un m’appeler, j’ouvris les yeux et je vis que j’était dans les bras d’Akira et je ne pu m’enpêcher de verser des larmes. La police arrêta mon beau père et elle nous dit que nous devrions partir chez mon père pendant quelque temps histoire que tout ce calme et à ce moment je regarda Akira avec un grand sourir et ce sourir qui avait comme signification

« J’ai gardé espoir jusqu’au bout »